Forum Opéra

Teatro La Fenice, Venise

arrow_back_iosarrow_forward_ios
Partager sur :
Partager sur facebook
Partager sur twitter
Partager sur linkedin
Partager sur pinterest
Partager sur whatsapp
Partager sur email
Partager sur print
Actualité
18 juin 2015

Infos sur l’œuvre

Détails

Parce que Venise, parce que le théâtre a été frappé plusieurs fois par le feu, parce qu’il fut le lieu de la création de quelques uns des plus grands ouvrages lyriques, parce que la salle est une pure merveille pseudo baroque, la Fenice est un des opéras les plus prestigieux au monde. Après quelques décennies en retrait (avec un orchestre que les milanais surnommaient « la banda » alors qu’il est dorénavant de très bon niveau), la Fenice a su retrouver une place centrale sur la scène lyrique italienne, jouant à la fois la carte de l’opéra populaire et touristique, et celle d’un théâtre qui ose les raretés.
 

Adresse : Campo San Fantin, 1965, 30124 Venezia

Institution lyrique hébergée : Teatro La Fenice

Site Web : http://www.teatrolafenice.it. Site en Italien ou en anglais.

Année de construction : 1792. Incendié en 1832. Reconstruction en 1836. Incendié en 1996. Reconstruit à l’identique en 2004.

Architecte : Gian Antonio Selva (1792). Giambattista et Tommaso Meduna, aidés de Tranquillo Orsi pour la décoration (1836). Aldo Rossi (2004)

Style architectural : Néo-classique pour le bâtiment, rococo pour l’auditorium

Répertoire de prédilection : Le répertoire de la Fenice est équilibré entre un certain nombre de titres populaires majoritairement italiens (Verdi, Puccini, Rossini mais aussi Mozart), des ouvrages italiens ou français moins courants, voire quelques raretés (La Favorite de Donizetti  dans sa version originale française, L’Africaine de Meyerbeer, Le Cinesi de Gluck, Stiffelio de Verdi, etc. pour ne citer que quelques titres récents à la date d’écriture de cet article).  Destinés à une clientèle plus touristique, certains titres, comme La Traviata sont donnés chaque année et même plusieurs fois dans la saison, souvent avec des distributions non communiquées à la date de mise en vente des billets : sans être exceptionnels, généralement inconnus,les jeunes chanteurs mis à l’affiche sont généralement à la hauteur des rôles confiés. Les mises en scène n’y sont ni poussiéreuses ni trop audacieuses, généralement de bon goût.

Education : Le Fenice propose des événements dédiés aux scolaires vénitiens, conçus en fonction des différents niveaux.

Histoire : Ouvert en 1678, le Teatro San Giovanni Grisostomo est à l’époque le plus luxueux théâtre d’une ville qui en compte beaucoup. C’est aussi un des plus vastes et en 1755, ses propriétaires, la famille Grimani, ouvrent une nouvelle salle, plus petite, le Teatro San Benedetto. L’ouverture de ce nouvel établissement accélère le déclin déjà amorcé du premier. Celui-ci connaîtra des fortunes diverses, Teatro Civico, Teatro Emeronittio, avant de devenir le Teatro Malibran dont nous reparlerons plus loin. Le San Benedetto est dédié aux opere serie. Pour la première fois, on y baisse le rideau entre chaque acte. Détruit lui aussi par un incendie en 1773, le San Benedetto est reconstruit avec une salle non plus circulaire mais en fer à cheval. Des disputes juridiques naissent sur la propriété du théâtre, définitivement octroyée en 1786 à la famille Vernier : il devient alors le Teatro Vernier. La liste des ouvrages qui y sont créés est longue, mais la plupart des compositeurs bien oubliés aujourd’hui (on citera quand même Mayr, Paer ou encore Vaccai pour la seconde salle). Repris en 1810 par l’imprésario Gallo, il prend le nom de ce dernier. Malgré la concurrence de la Fenice à partir de 1792, le San Benedetto marque un point avec la création de L’Italiana in Algieri en 1813. Les créations se raréfient par la suite. On ne notera guère qu’Emma di Resburgo de Meyerbeer en 1819. En 1850, Crispino e la comare des frères Ricci est l’un des derniers ouvrages encore connus aujourd’hui créé in loco. C’est toutefois au San Benedetto que La Traviata connaîtra le succès, l’ouvrage ayant chuté l’année précédente à la Fenice. Teatro Rossini en 1868, puis Cinema Rossini au XXe siècle, le théâtre deviendra finalement un supermarché.

Revenons maintenant en 1789. En réaction au procès évoqué plus haut et tranché en faveur des Vernier, les plus riches familles de la ville décident de s’associer pour construire un nouveau théâtre plus moderne et plus luxueux qui, avec ses loges et sa forme en fer à cheval, deviendra le modèle des salles italiennes. Dès l’appel à candidature, la future salle est appelée Fenice, c’est-à-dire Phénix, en référence à l’oiseau légendaire censé être capable de renaître de ses cendres. La Fenice est inaugurée le 16 mai 1792 avec I giuochi d’Agrigento de Giovanni Paisiello (le compositeur du premier Barbiere di Siviglia) sur un livret du comte Alessandro Pepoli (à qui l’on doit celui d’I Puritani de Bellini). Conséquence des conquêtes napoléoniennes, une loge impériale est rajoutée en 1808, d’un style sobre plus conforme au nouveau goût de l’époque. L’ensemble de la salle connait une rénovation radicale entre 1825 et 1828, l’ensemble ayant beaucoup souffert des fumées des lampes à huile. Le 13 décembre 1836, la salle disparait dans les flammes. Reconstruite dans la foulée, la salle réouvre dès le 26 décembre 1837. Un délai qui donnerait des sueurs froides aux concepteurs de la Philharmonie de Paris. Détruite en 1848 lors des soulèvements contre l’occupant autrichien, la loge impériale est reconstruite dès 1849. En 1854, une nouvelle rénovation donne à la salle cet aspect de théâtre du XVIe siècle que nous lui connaissons à l’époque moderne.

La Fenice est détruite une nouvelle fois par le feu le 29 janvier 1996. Les responsables de la catastrophe sont deux électriciens d’une entreprise de maintenance qui, pour éviter une pénalité de retard de 50 millions de lires (26 000 euros) ont voulu bénéficier d’un cas de force majeure en créant eux-mêmes un début d’incendie. Rapidement, il est décidé d’une reconstruction à l’identique » en tous cas dans la mesure du possible : Com’ era e, dov’ era, c’est-à-dire, « comme elle était, là où elle était ». Entre l’indolence administrative, différentes luttes de pouvoir et le décès de l’architecte Aldo Rossi dont le projet a été retenu, la reconstruction prendra un retard important malgré de multiples dons venus du monde entier. Entre temps, des spectacles continuent à être donnés, soit au PalaFenice (un chapiteau installé sur l’ile du Tronchetto, à l’emplacement des parkings de l’entrée de la ville), soit au Teatro Malibran qui prend ainsi pour quelques années sa revanche sur le Fenice. Le PalaFenice sera revendu à l’Opéra de Liège quand celui-ci entreprendra d’importants travaux de rénovations entre 2009 et 2012 et rebaptisé Palais Opéra. La reconstruction de la nouvelle Fenice commence en 2001 et la salle est finalement inaugurée avec un concert dirigé par Riccardo Muti le 14 décembre 2003. Mais les travaux ne sont pas encore achevés et il faudra attendre novembre 2004 pour que le Fenice donne sa première représentation scénique avec l’indéboulonnable Traviata. Certaines parties du foyer, trop abimées, n’ont pas été refaites à l’identique et des morceaux des anciennes fresques témoignent de l’aspect antérieur des lieux.

Premier opéra représenté :  I giuochi d’Agrigento de Giovanni Paisiello le 16 mai 1792

Créations marquantes : parmi les très nombreuses créations in loco, on peut citer en particulier les ouvrages ci-dessous

  • 1813 Tancredi de Gioachino Rossini
  • 1814 Sigismondo de Gioachino Rossini
  • 1823 Semiramide de Gioachino Rossini
  • 1824 Il crociato in Egitto de Giacomo Meyerbeer
  • 1830 I Capuleti e i Montecchi de Vincenzo Bellini
  • 1833 Beatrice di Tenda de Vincenzo Bellini
  • 1836 Belisario de Gaetano Donizetti
  • 1837 Pia de’ Tolomei de Gaetano Donizetti
  • 1838 Maria de Rudenz de Gaetano Donizetti
  • 1838 Le due illustri rivali de Mercadante
  • 1844 Ernani de Giuseppe Verdi
  • 1846 Attila de Giuseppe Verdi
  • 1851 Rigoletto de Giuseppe Verdi
  • 1853 La Traviata de Giuseppe Verdi
  • 1857 Simon Boccanegra de Giuseppe Verdi
  • 1897 La bohème de Ruggero Leoncavallo
  • 1901 Le Maschere de Pietro Mascagni
  • 1951 The Rake’s Progress d’Igor Stravinskij
  • 1954 The Turn of the Screw de Benjamin Britten

Meilleures places :  La Fenice est un théâtre à l’italienne composé d’un parterre, de trois étages de loges et de deux étages supérieurs appelés loggione (4e étage) et galleria (5e étage). Au parterre, la visibilité est correcte sauf pour les personnes de petite taille, la pente étant assez faible. L’acoustique est meilleure dans les tous premiers rangs. Au centre et au fond de l’orchestre, le son est correct, sans plus, et meilleur sur les côtés mais avec des effets de réverbération parfois un peu bizarres en fonction du décor et de la position des chanteurs (on peut parfois avoir l’impression qu’ils sont amplifiés ce qui n’est bien évidemment pas le cas).

Les loges sont numérotées de 1 à 35 depuis la gauche en regardant la scène, jusqu’à la droite (de jardin à cours). Il n’y a donc pas de côté pair et impair. La visibilité est excellente à bonne au premier rang des loges 11 à 16 et 20 à 25 quel que soit l’étage, et dans la loge centrale du deuxième étage (la loge empiète sur les 2e et 3e étage du fait de sa hauteur ; au niveau du premier étage, il n’y a pas de loge centrale car c’est l’entrée du parterre). Même si la visibilité est correcte aux deux autres rangs de la loge impériale, le son est un peu étouffé en arrière. Au premier rang des loges 1, 2, 3 et symétriquement 35, 34, 33 des second et troisième étages, on est gêné par les rampes de projecteurs. le second rang de toutes les  loges est à éviter (mis à part pour la loge impériale),  sauf dans les loges les plus centrales (14 à 16 et 20 à 22) si on accepte de rester debout une partie de la soirée 

En galleria, on a une configuration identique à celle des loges du dessous mais avec des demi cloisons séparatives. Au rang 1, choisir entre les places 21 et 50 (19 et 52 à l’extrême rigueur) à l’exception des places 34 et 37 où on est gêné par un projecteur vidéo. Les places 35 et 36 sont théoriquement parfaites (en plein centre) mais on est un peu gêné par un coffrage devant le parapet ce qui empêche de s’approcher du bord de la loge. Au rang 2, la visibilité est acceptable entre les places 29 et 42 (mais prévoir de passer une partie de la soirée debout !) à l’exception des places 32, 33, 35 et symétriques où on peut être gêné par divers obstacles. Ne pas prendre de places au-delà du spectre 23 à 48 au second rang.

En loggione, on aura une visibilité acceptable au premier rang entre les places 19 et 52, les meilleures étant les places 71 à 94. Au second rang, on peut choisir entre les places 95 et 116, et au troisième entre les places 117 et 144, les trois rangées étant surélevées les unes par rapport aux autres. Le son est excellent mais pas très puissant. Ailleurs on évitera le rang 2. Enfin, des projecteurs masquent la vue aux places 1 à 6 (symétriquement, 65 à 70), 12 (59) et 14 (57) ; malheureusement, la position des projecteurs à ces quatre dernières places n’est pas garantie dans le temps : ils n’apparaissent pas sur certaines photos de la salle.

L’acoustique est très variable d’une place à l’autre, meilleure en loggione ou en galleria, mais pas aussi exceptionnelle qu’on a coutume de lire assez souvent. Toutes les places ci-dessus ne sont pas nécessairement en vente (présence de techniciens). Nous ne les avons pas toutes testées, n’hésitez pas à nous communiquer vos impressions si elles diffèrent de ce qui est décrit ci-dessus !

Tarifs 2014 -2015 : en 2015, les prix s’échelonnent de 15 à 190 € pour une représentation courante (de 50 à 320 € pour une première). Pour un minimum de visibilité, compter 70 €. Pour les retardataires, la Fenice dispose généralement de places à vendre à la dernière minute, sans rabais particulier, vraisemblablement des retours de conciergerie d’hôtels. Si en revanche vous avez une place à vendre, gardez-la pour essuyer vos larmes car pratiquement personne ne vous l’achètera devant le théâtre avant la représentation. 

Les tickets sont en vente sur le site Internet du théâtre, sans possibilité de choisir sa place. Pour ce qui concerne les loges, le site propose automatiquement les places les plus centrées. En ce qui concerne le parterre, le résultat est moins évident : pour contourner le système, commander plusieurs places et éliminer celles qui ne vous conviennent pas au moment de la validation du panier (avant paiement bien sûr).

Anecdote : Rigoletto fut créé à la Fenice le 11 mars 1851. On raconte que Giuseppe Verdi avait interdit que l’air « La donna e mobile » ne soit chanté à la générale. Il s’agissait d’éviter que les gondoliers, qui avaient l’habitude de rester à l’arrière du théâtre pour apprendre les tubes de l’opéra en création, ne prennent connaissance de celui-ci et gâchent l’effet de surprise des spectateurs de la première en le répétant à l’envie.

Seconde salle de La Fenice, le Teatro Malibran (900 places aujourd’hui) doit son nom à la célèbre chanteuse espagnole venue y interpréter La Sonnambula le 8 avril 1835. Attristé du pauvre état du théâtre, elle abandonna son cachet au profit de la rénovation de celui-ci. Par conséquent, le théâtre fut rebaptisé en son honneur. Le 7 avril 1984, le Teatro Malibran accueillait exceptionnellement l’Amina de June Anderson pour fêter cet anniversaire. C’est ce genre de détail qui caractérise la Fenice, un théâtre à la fois ancré dans la modernité (avec, à l’occasion, des productions réalisées par des artistes de la biennale d’art contemporain), et fier de son histoire et de son passé.

Vestiaire, bars et parties communes : Vestiaire au sous-sol. Bars aux rez-de-chaussée et au niveau des 2èmes loges : il faut d’abord faire la queue à la caisse pour payer ce qu’on souhaite commander, puis une nouvelle fois au bar lui-même pour les obtenir. Un conseil : achetez vos tickets en arrivant et utilisez les à l’entracte. Deamnsez des tickets séparés s’il y a plusieurs entractes. Vous éviterez ainsi la queue particulièrement longue et pourrez savourer votre boisson en toute sérénité en parcourant les salles, notamment la magnifique salle Appolinea au dessus de l’entrée. Vous pouvez aussi prendre un verre à l’entracte avec les musiciens au restaurant Al Teatro à gauche en sortant de l’opéra, à l’opposé de l’Antico Martini mais ne vous calez pas sur les horaires des musiciens : ceux qui ne jouent pas dès le début de l’acte ne rentreront que plus tard !

Les toilettes : à chaque étage, en fond de salle, côté cours (à droite en regardant la scène). 

Le bémol : Le système de réservation est un peu aléatoire. Les places à l’unité sont en vente sur Internet assez tôt mais sans date précise, le contingent pouvant augmenter au fur et à mesure des retours des abonnés. Choisir le spectacle, la date et cliquer sur « Acquista online » ou « Purchase online ». Une fenêtre s’ouvre : choisir la catégorie, le nombre de place, cliquer sur « Trouver les meilleures places » (vous devriez être identifié à ce stade comme basé en France si c’est le cas). L’attribution des places est automatique . Si les places disponibles sur Internet ne vous satisfont pas, vous pouvez également commander des places par email auprès de Eventi VELA S.p.A. (eventi@velaspa.com) qui dispose d’un contingent différent. Il n’y a pas de surcoût mais il faut être extrêmement patient avec vos interlocuteurs… Achat par téléphone  :  centre d’appels Hellovenezia au (+39) 041 2424 entre 9h et 18h, par carte de crédit uniquement (frais 10%). Achat par fax :  (+39) 041 2722673. Les demandes envoyées avant l’ouverture de la location sur le site ne sont pas prises en considération. 

Le dièse : En choisissant bien les dates de votre visite, vous pouvez voir trois opéras en trois jours, ce qui est absolument exceptionnel en Italie. Pour certains spectacles, vous pouvez acheter des places dans les premières catégories sur les réseaux France Billet, Carrefour Spectacles, Fnac Spectacles …

Le surtirtrage est donné dans la langue originale et en italien, ou, pour les opéras italiens, en italien et en anglais. Chose rare, le surtitrage respecte l’intégralité du livret, sans adaptations, omissions ou coupures.

Accessibilité : L’accès handicapé se fait par la calle de La Fenice (à droite en regardant la façade). L’ascenseur, accessible de plain-pied, dessert tous les étages. L’accès n’est pas limité aux seuls handicapés, mais ne manquez pas l’entrée par le hall principal si vous le pouvez.

Accès : Il peut être difficile de retrouver la direction de La Fenice si on ne connait pas Venise (ça fait partie du charme …). Si vous ne connaissez pas l’emplacement du théâtre, nous vous conseillons de venir très en avance, voire de repérer préalablement le chemin. Par exemple, si vous êtes sur la grande rue calle largo XXII marzo, vous pouvez noter au sol une mosaïque publicitaire bleue indiquant la direction du restaurant Martini à l’entrée de la calle Veste, rue qui vous mènera tout droit à la Fenice.  Vaporetto : ligne 2 (depuis le parking du Tronchetto), ligne 1 ou 2 depuis la Piazzale Roma (bus et parking couvert plus cher) ou la gare (Stazione Santa Lucia). Arrêts : Rialto, Sant’Angelo, San Samuele, San Marco (ligne 1), Rialto ou San Marco (ligne 2). Sinon, vous pouvez faire comme Karajan et arriver au dernier moment en gondole par l’arrière du théatre !

Boutique : A droite en montant les marches, une boutique propose des souvenirs et des enregistrements dont certains pirates. La boutique est ouverte aux entractes.

Où dîner a proximité ? Il est difficile de trouver un restaurant hors saison touristique ouvert après 22h. A proximité immédiate de la Fenice, nous vous déconseillons le restaurant Antico Martini (à droite en sortant de l’opéra), autrefois étoilé et qui n’a gardé de sa splendeur passée que des prix élevées (mais aussi une belle cave pour les amateurs de vins fins). Un peu moins cher mais meilleur, vous pouvez tenter le Ristorante alla Borsa dans la calle del Qartori da veste (autre nom de la calle Veste pour ceux qui suivent). En pressant le pas, vous pouvez attendrir le personnel de Da Raffaele, moins cher, pour qu’il vous accueille (descendre la calle Veste, prendre à droite dans le calle Largo XXII marzo après la publicité au sol en mosaïque, virage à gauche puis à droite : le restaurant est sur la droite sur le rio de l’Alboro, avant de traverser le pont. Il s’agit de restaurants touristiques, tout à fait corrects sans être gastronomiques, mais pas économiques non plus : si vous avez en tête un autre restaurant plus prestigieux, vérifiez préalablement ses horaires d’ouverture.

Où dormir à proximité ? Le choix d’hôtels est considérable et les prix extrêmement variables en fonction de leur taux de remplissage. Il peut donc être intéressant de réserver via un site Internet qui propose l’annulation gratuite et de changer éventuellement d’établissement en fonction des évolutions tarifaires. En fonction de votre budget et de votre capacité à vous déplacer, vous pouvez choisir un hôtel hors des sentiers touristiques (par exemple du côté de la station de vaporeto San Basilio), ou à proximité immédiate de la Fenice : Hôtel Kette, Hôtel dell’opera… Attention à la localisation réelle de ces hôtels, Google Map (et Booking.com) pouvant donner des emplacements plutôt fantaisistes par rapport à la position réelle desdits établissements.

Autre solution, louer un appartement pour vivre Venise comme un Vénitien. le site louer-appartement-venise.com* propose plus de 350 logements dans le centre historique de toutes les tailles et à tous les tarifs, incluant une assistance sur place et dans la majorité des cas l’annulation gratuite.

* publi-information

Commentaires

VOUS AIMEZ NOUS LIRE… SOUTENEZ-NOUS

Vous pouvez nous aider à garder un contenu de qualité et à nous développer. Partagez notre site et n’hésitez pas à faire un don.
Quel que soit le montant que vous donnez, nous vous remercions énormément et nous considérons cela comme un réel encouragement à poursuivre notre démarche.

Infos sur l’œuvre

Détails

Nos derniers podcasts

Nos derniers swags

Les dernières interviews

Les derniers dossiers

Dossier

Zapping

Vous pourriez être intéressé par :

« Serrez les épisodes, éliminez les autres, arrivez à la scène finale où l’amour explose ! »
Actualité
Rencontre croisée entre le metteur en scène Christof Loy et le baryton Stéphane Degout à l’occasion de la recréation de l’opéra Guercœur à l’Opéra National du Rhin à Strasbourg.
Interview
Le 339e numéro de l’Avant-Scène Opéra accompagne une nouvelle production de Guercœur à l’Opéra national du Rhin du 28 avril au 28 mai 2024.
Actualité