S'il aime à prendre, sous les épaisses lunettes que son grand oncle déroba jadis à Karl Böhm lors d'une soirée à Berchtesgaden, la pose sourcilleuse qui sied aux curés du pays de Caux, Maximilien Hondermarck cache une profonde sensibilité. C'est d'ailleurs l'écoute intensive, répétée des tendres mélopées susurrées par les One Direction qui le porta progressivement à l'opéra : Franco Fagioli, à l'art duquel il a consacré un imposant mémoire à la faculté de Musicologie de Mykonos, Philippe Jaroussky ou encore Simone Kermes sont les grands gisants de son Panthéon, où seule l'inexplicable présence de Richard Croft fait entorse au bon goût.
Et maintenant ? Ces deux mots résument le débat gigantesque qui occupé le back-office lyrique.
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