La voix n’a que peu son mot à dire dans Baroque Gold, la nouvelle compilation Decca qui réunit en six CD cent pages extraites du répertoire baroque. Avec trois airs au compteur – « Dell’aura al sussurrar » tiré du dramma per musica de Vivaldi, Dorilla in Tempe et les inusables scies haendéliennes « Ombra mai fu » et « Lascia ch’io pianga » –, Cecilia Bartoli se taille la part du lion. Daniel Behle offre à « J’ai perdu mon Eurydice » une tessiture de ténor, conformément à la version parisienne du chef d’œuvre de Gluck. C’est à peu près tout, si l’on s’en tient à l’opéra, le répertoire sacré – extraits de cantates de Bach et d’oratorios de Haendel pour l’essentiel – venant à peine redorer le blason lyrique. Six CD pour le prix d’un : l’argument économique reste le premier valable si l’on veut acquérir ce coffret, en prévision par exemple d’un cadeau de Noël. A son meilleur ennemi ? En vente depuis le 16 juin.
Baroque Gold, tout ce qui brille n’est pas or
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Brève
11 juillet 2017
Baroque Gold, tout ce qui brille n’est pas or
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