Kiri Te Kanawa fait régner l’ordre en Nouvelle-Zélande.

D’après le maire de Waitakere City, une petite bourgade de Nouvelle-Zélande, le vandalisme a diminué depuis que des haut-parleurs diffusent en centre-ville de la musique classique. Aucune détérioration d’œuvres d’art ou de sculptures ne serait à déplorer grâce à Mozart, Vivaldi, Tchaïkovski et une pincée de temps à autre de Kiri Te Kanawa. Les vandales ne trainent plus leurs baskets dans le coin car ils trouvent le chant de la soprano bloody hideous (vachement hideux). « Je pense que c’est Dame Kiri qui fait cet effet » se félicite haut et fort notre bourgmestre. On ne prête qu’aux riches… Christophe Rizoud