Spots Opéra 2007

Gürrelieder de Schoenberg à la Monnaie du 2 au 6 septembre 2007 :

La musique moderne est le parent pauvre de nos institutions, pourtant à entendre une telle œuvre, il y a de quoi se dire que la musique moderne n’a rien d’effrayant ; parce que les Gürrelieder sont le meilleur moyen d’aborder l’œuvre de Schoenberg, qui ouvre les portes de la modernité. [HM]

Les Noces de Figaro de Wolfgang Amadeus Mozart au Théâtre des Champs-Elysées à Paris le 20 septembre

En version de concert... Pour le jeune chef Jérémie Rohrer, avec qui, à coup sûr, cette "folle journée" va décoiffer ! [JB]

Les Troyens d’Hector Berlioz au Grand Théâtre de Genève du 13 septembre au 2 octobre 2007

Pour le Grand Théâtre de Genève et son excellent directeur Jean-Marie Blanchard, pour Berlioz et la musique française : certes ; pour la Didon d'Anne-Sophie Von Otter : peut-être ; pour la production de Yannis Kokkos - victorieuse au Châtelet en 2003 - et la direction de John Nelson : sûrement ; pour la Cassandre d'Anna Caterina Antonacci : surtout. [CR]

Pour l’oeuvre trop méconnue et les raisons déjà indiquées ci-dessus [MS]

Pour exactement les mêmes raisons que celles indiquées ci-dessus, surtout la Cassandre d'Antonacci. [SR]

Lucia di Lamermoor de Gaetano Donizetti au Metropolitan de New York du 24 septembre au 25 octobre 2007

Pour notre très chère Natalie en Lucia mais aussi, si ce n’est déjà fait, pour découvrir le talent d’acteur et la voix caressante mais néanmoins puissante du talentueux baryton Mariusz Kwiecien. La mise en scène de Mary Zimmerman, les décors de Daniel Ostling et la direction de James Levine devraient assurer toutes les conditions d’un succès attendu. [BC]

Maria Stuarda de Gaetano Donizetti à l’Opéra de Lyon du 26 au 28 septembre 2007

Parce que je me consume pour Ciofi à laquelle les brumes du romantisme "scottien" vont si bien ; parce que l'œuvre peut tourner au grandiose ; parce que je suis chauvin aussi et que le spectacle se passe sur mes terres (mais, grand seigneur, je le prêterai à la capitale). ; et cela malgré Tamar qui est capable du pire comme du meilleur et à laquelle j'ai envie de laisser le bénéfice du doute en lui (nous) souhaitant qu'elle retrouve les accents de sa Lady Macbeth ou de son Elettra mozartienne ! Avec un duel à distance : la Stuarda de Anna Caterina Antonacci à Bruxelles… Antonacci qui n'est adéquate à peu près nulle part et donc originale un peu partout risque fort de laisser un souvenir forcément unique ici encore. [BB]

Le roi d'Ys d’Edouard Lalo au Capitole de Toulouse du 5 au 14 octobre 2007

Parce que rarement monté et pour le retour en France d' Yves Abel, un chef qui fit les beaux soirs de Pesaro de 95 à 99. [MS]

Don Carlos de Giuseppe Verdi à Toronto du 12 octobre au 3 novembre 2007

Parce que ce sera en chanté en français et que la merveilleuse Adrianne Peiczonka incarnera Elisabeth. [RB]

Agrippina de Georg Friedrich Haendel au New York City Opera du 14 octobre au 2 novembre 2007

Autre prise de rôle, tout aussi inattendue, mais ô combien excitante : l’Agrippina de Nelly Miricioiu ! L’excellente basse portugaise João Fernandez fera également ses débuts sur la scène new-yorkaise en incarnant son impérial et risible époux Claudio. [BS]

Ariodante de Georg Friedrich Haendel au Grand Théâtre de Genève du 11 au 21 novembre 2007

Pour l'oeuvre, magnifique, pour Joyce di Donato dans le rôle-titre, Petibon en Ginevra et Piau en Dalinda, et pour la mise en scène et les décors de Pierre Strosser. [JB]

La 13° Symphonie Baby Yar de Dmitri Chostakovitch, avec basse solo et chœur d'hommes, à Metz le 15 novembre 2007

Pour l'œuvre tout d'abord, l'une des plus belles et plus fortes symphonies de son auteur et pourtant fort rarement exécutée, pour Anatoli Kotcherga, le chanteur fétiche d'Abbado, à qui l'œuvre devrait aller comme un gant, pour le superbe Orchestre National de Lorraine dirigé par son chef curieux et généreux Jacques Mercier, pour l'Arsenal enfin, l'une des plus belles salles de concert qui soit magnifiant presque tout ce qui y résonne... [PEL]

Alcina de Georg Friedrich Haendel à l’Opéra National de Paris du 22 novembre au 26 décembre 2007

Si le cyclothymique Spinozi dirige son Haendel comme du Vivaldi, les ors du Palais Garnier risquent d'en ressortir bien décoiffés... [VLN]

Et aussi pour la nouvelle distribution, Emma Bell et Inga Kalna alternant dans le rôle-titre et la Bradamante très attendue de Sonia Prina. [JB]

Iphigénie en Tauride de Christoph-Willibald Gluck au Metropolitan de New York du 27 novembre au 22 décembre 2007

Pour la superbe Iphigénie de Graham et surtout pour la surprenante prise de rôle de l'infatigable Domingo en Oreste. [CP]

Le Caïd d’Ambroise Thomas à Metz du 30 novembre au 2 décembre 2007

Parce que la France ne doit pas rougir de son répertoire, parce qu'il faut que quelqu'un se mouille le maillot pour défendre ces œuvres parfois kitch, parfois tartes, souvent mal écrites mais quasiment toujours réjouissantes. Parce que les gens doivent y aller de leurs oreilles histoire de voir si Debussy avait raison en disant "Il y a la bonne musique, la mauvaise musique et la musique d'Ambroise Thomas". [HM]

Werther de Jules Massenet à La Monnaie de Bruxelles du 4 au 22 décembre 2007

Dans la version baryton pour Tézier, parce que Tézier est un très grand. [JPT]

Orphée et Eurydice de Christoph-Willibald Gluck à l’Opéra de Toulon du 5 au 9 décembre 2007

Pour la version pour ténor avec Maxim Mironov comme pierre de touche. [MS]

Tancrède de Gioacchino Rossini au Teatro Real de Madrid du 5 au 22 décembre 2007

Pour comparer les deux versions de l'oeuvre : Venise ou Ferrare ? Sledge, Ciofi et Barcellona ou Zapata, Cantarero et Podles ? Le rire ou les larmes ? Le choix est déjà fait : préparez vos mouchoirs ! [CR]

La production de Yannis Kokkos vous fait deux propositions. Choisissez la fin tragique avec Ewa Podles dans le rôle titre — à ne pas manquer si vous adorez ce contralto époustouflant, surtout si vous ne l’avez jamais entendu sur scène. Si vous êtes quelque peu frileux et plutôt puriste, préférez la fin joyeuse avec Daniela Barcellona — beaucoup plus consensuelle à tous points de vue ! [BC]

Tannhaüser de Richard Wagner à l'Opéra National de Paris du 6 au 30 décembre 2007

Pour le retour de Seiji Ozawa dans une des fosses de l'ONP, après 3 ans et demi d'absence ; pour les débuts in loco du solide Stephen Gould et pour l'Elisabeth de la non moins solide Eva Maria Westbroek, Sieglinde triomphale à Aix l'été dernier. [CT]

Pour la mise en scène de Robert Carsen [JMH]

La Donna del lago de Gioacchino Rossini au Deutsche Oper de Berlin du 7 au 12 décembre 2007

Si vous êtes un fan des belles versions de concert. Pour Gregory Kunde en Rodrigo di Dhu et la direction fervente d’Alberto Zedda. [BC]

Tristan und Isolde de Richard Wagner à la Scala de Milan du 7 décembre au 2 janvier 2008

Destination incontournable pour assister aux retrouvailles artistiques d’un trio de légende constitué par Waltraud Meier, l’Isolde de son temps, Patrice Chéreau qui s’attaque enfin au chef d’œuvre de Wagner et Daniel Baremboim, dont le Wozzeck avec ces mêmes complices reste gravé dans les mémoires. [FL]

L'Etoile d’Emmanuel Chabrier à l’Opéra Comique à Paris du 13 au 23 décembre 2007

Pour l'oeuvre qui est rarement donnée, pour Gardiner, qui a tant fait pour sa promotion (voir son enregistrement), et pour l'Orchestre Révolutionnaire et Romantique et le Monteverdi Choir. [JB]

Cécilia Bartoli au Théâtre des Champs-Elysées à Paris le 14 et 16 décembre 2007

Parce que Cecilia ! Et un répertoire nouveau (bien que moins novateur...) ! [AB]

Orphée et Eurydice de Christoph-Willibald Gluck au Teatro Communale de Bologne du 8 au 19 janvier 2008

Car ce que m'en a dit Roberto Alagna a excité ma curiosité, non seulement sur le plan vocal mais aussi pour la mise en scène de ses frères, rarement banale. [JPT]

La Traviata de Giuseppe Verdi au Royal Opera House de Londres du 14 au 29 janvier 2008

Pour voir sur scène la Violetta de Netrebko et réentendre le magnifique Alfredo de Jonas Kaufmann. Avec le Germont de Hvorostovsky, c'est sans doute l'une de meilleures distributions que l'on puisse réunir aujourd'hui. [CP]

Le mini-cycle Janacek par le Théâtre Maryinsky de St-Pétersbourg à Baden-Baden du 19 au 21 janvier 2008

Pour les œuvres (L'Affaire Makropoulos, Jenufa), l'incursion de Valery Gergiev dans ce répertoire, la mise en scène de Graham Vick de Makropoulos, et sans doute, les voix du Kirov... [PEL]

Giulio Cesare de Georg Friedrich Haendel à La Monnaie de Bruxelles du 20 janvier au 7 février 2008

Pour cette nouvelle production du couple Herrmann avec René Jacobs à la tête du Freiburger Barockorchester, la Monnaie met les petits plats dans les grands et réunit un double cast : Lawrence Zazzo (Cesare), Danielle De Niese (Cleopatra), Tania Kross (Tolomeo), Anna Bonitatibus (Sesto), Christiane Stotijn (Cornelia) ou Marijana Mijanovic, Sandrine Piau, Brian Asawa, Monica Bacelli et Charlotte Hellekant. Faut-il choisir ? La confrontation risque d’être passionnante et vous donnera l’occasion de réentendre Luca Pisaroni et Dominique Visse, luxueux seconds rôles s’il en est ! Reprise à Amsterdam du 16 au 23 février. [BS]

Cadmus et Hermione de Jean-Baptiste Lully à l'Opéra Comique à Paris du 21 au 27 janvier 2008

Coup d'essai, coup de maître et l'on espère que l'orchestre de Vincent Dumestre aura gagné en opulence pour rendre grâce à la naissance de ce beau brin de fille qu'est la tragédie lyrique. [VLN]

Il Sant'Alessio de Stefano Landi à l’Opéra de Nancy du 23 au 30 janvier 2008

La reprise du Sant'Alessio de Landi par Christie (créé à Caen), enfin mis en scène, par Benjamin Lazar qui plus est. Pour qui comme moi avait entendu par le même Christie la création à l'Arsenal de Metz en 1995, et qui avait alors senti à quel point cette oeuvre sublime appelait le geste, c'est le bonheur absolu. [SR]

Cosi fan Tutte de Wolfgang Amadeus Mozart au Staatsoper de Vienne, du 6 au 14 février 2008

Pour Riccardo Muti, dont les Mozart sont frais et altiers ne se rattachent à aucune "école", et pour un casting à peu près imbattable : Frittoli, Kirshschlager, d'Arcangelo et Meli -qui dit mieux ? [CT]

Luisa Miller de Giuseppe Verdi à l'Opéra National de Paris du 14 février au 12 mars 2008

Pour le grand Vargas bien rare à Paris... Et pour ce beau Verdi trop rarement donné (en espérant éviter le naufrage du Ballo au même endroit la saison dernière!) [AB]

Thésée de Jean-Baptiste Lully au Théâtre des Champs-Elysées à Paris du 20 au 29 février 2008, à l'Opéra de Lille du 11 au 17 mars 2008

Encore du Florentin ! Troisième tragédie lyrique du Surintendant, Thésée bénéficie d'un livret passionnant et de traits d'humour qui disparaîtront définitivement après Alceste. Après l'interprétation du Festival de musique ancienne de Boston, c'est au tour d'une équipe hexagonale de défendre cette oeuvre d'une spontanéité confondante. [VLN]

Et aussi pour la prise de rôle de von Otter en Médée (*) - laquelle von Otter n'est, au passage, pas particulièrement "hexagonale", elle, mais il est vrai que sa diction en français est vraiment exemplaire... [JB]

[(*) à Paris, cast différent à Lille, ndlr ]

Lucrezia Borgia de Gaetano Donizetti au Teatro del Liceu de Barcelone du 22 février au 1er mars 2008

Pour l'œuvre avant tout... Et pour le gang des mamies, Mamie Grubi, et Mamie Ewa ! [AB]

Si je vous dis Lucrezia Borgia, Gruberova ET Podles, vous voyez l'équation surchargée d'adrénaline que je viens de poser ! A tous ceux qui nient, presque, l'existence (ou son droit d'exister) de Gruberova ailleurs que dans Mozart, j'oppose au moins la longévité de la dame dans ce répertoire d'une exigence absolue. Plus qu'un indice, c'est une proclamation ! Et là encore, comme pour les Capuletti parisiens, j'ose à peine imaginer la mixture détonante que nos deux divas, additionnées, feront de cette "Lucrezia Molotov". [BB]

Pour la prise de rôle de Gruberova face à Ewa Podles et Ildebrando d'Arcangelo dans un ouvrage rarement représenté en France. [CP]

Zampa, ou la fiancée de marbre de Louis Joseph Hérold à l’Opéra Comique à Paris du 10 au 21 mars 2007

Qui peut dire qu’il a jamais vu cet opéra, qui a connu un si grand succès à sa création en 1832 ? Tout au plus cette nième histoire de corsaire est-elle connue par son ouverture, mais mérite certainement d'être redécouverte. [JMH]

Padmâvati d’Albert Roussel au Théâtre du Châtelet à Paris du 14 au 24 mars 2008

Pour l’ouvrage gigantesque d’Albert Roussel, inconnu et pourtant magnifique, auquel Paris redonne une chance en confiant sa réalisation à un maître indien incontesté du genre « Bollywood » : Sanjay Leela Bhansali. [FL]

Giulio Cesare de Georg Friedrich Haendel à l’Opéra de Lausanne du 18 au 25 avril 2008

Le Giulio Cesare d’Emilio Sagi et Ottavio Dantone retiendra aussi l’attention des haendéliens. L’écrin suisse devrait ménager l’organe délicat d’Andreas Scholl un peu court pour le Théâtre des Champs-Élysées (Cesare), ainsi que le soprano piquant mais gracile d’Elena de la Merced (Cleopatra). On attend certes beaucoup du Sesto de Max-Emanuel Cencic, dernière sensation en matière de contre-ténor, mais le duel d’Oustrac (Cornelia)/Dumaux (Tolomeo) risque aussi de faire des étincelles ! [BS]

Fidelio de Ludwig Van Beethoven au Teatro Real Madrid du 19 au 23 avril 2008

Le voyage en terre ibérique s’impose, pour le Florestan grave et sensible du magnifique ténor allemand Jonas Kaufmann, la direction très attendue du maestrissimo Claudio Abbado et la mise en scène de Robert Carsen. [FL]

Die Walküre de Richard Wagner à l'Opéra du Rhin du 18 avril au 18 mai 2008

Sûrement pour la mise en scène de David Mc Vicar, dont le Rheingold de la saison passée est déjà anthologique, sans doute pour les prometteurs Jason Howard en Wotan et Jeanne-Michèle Charbonnet en Brünnhilde, et, nous l'espérons, pour l'Orchestre Philharmonique de Strasbourg dont la Salomé de mai dernier a marqué nos mémoires... [PEL]

Tamerlano de Georg Friedrich Haendel à l’Opéra National de Washington du 30 avril au 22 mai 2008.

L’ouvrage d’abord : noir et fascinant, l’un des plus singuliers de Haendel, bien trop rarement à l’affiche. La distribution ensuite : insatiable comme chacun sait, Placido Domingo devait tôt ou tard s’emparer du plus grand rôle de ténor haendélien (Bajazet), une partie relativement centrale qui devrait tomber dans ses cordes. Quant au style, il pourra compter sur les conseils d’artistes de la trempe de David Daniels (Tamerlano) et Patricia Bardon (Andronico). La production de Chas Rader-Shieber, familier des ouvrages du Saxon (Flavio, Giulio Cesare, Orlando, Semele figurent à son tableau de chasse), fut créée en 2003 au Festival de Spoleto où elle marquait les débuts américains de Christophe Dumaux. [BS]

Die Walküre de Richard Wagner au Teatro del Liceu de Barcelone, les 28 et 31 mai 2008

Pour Waltraud Meier et Placido Domingo, qui encadreront royalement les premiers Wotan de Rene Pape ; de quoi nous faire vivre passionnément cette première journée de la Tétralogie, même sans mise en scène ! [CT]

Pour les interprètes, Placido Domingo, Waltraud Meier et Evelyn Herlitzius [JMH]

I Capuleti e i Montecchi de Vincenzo Bellini à l'Opéra National de Paris du 24 mai au 15 juin 2008

Pour entendre les effusions sentimentalo-belcantistes de Netrebko et Di Donato. Ses élans lunaires sont (pour le moment) ce que la première a de meilleur d'italien dans la voix ; et je rêve de la voir se frotter à la flamme du travesti impétueux de la seconde ! [BB]

Don Carlo de Giuseppe Verdi au Royal Opera House de Londres du 6 juin au 3 juillet 2008

Pour la distribution, galactique : Villazon, Keenlyside, Ganassi...dir Pappano ; on est parfois déçus par ces étoiles, mais quand même, quel luxe ! [JPT]

Falstaff de Giuseppe Verdi au Théâtre des Champs-Elysées à Paris du 19 au 29 juin 2008

Pour une seule lumière, parmi un bouquet d'étoiles pourtant (Altinoglu, Corbelli, Tézier, Karthaüser, Lemieux, Antonacci, la distribution éblouit !) : le timbre extatique du ténor Francesco Meli. [CR]

Toute la saison de La Monnaie de Bruxelles.

Parce que, et dans le désordre... : Parce que, et dans le désordre... : hommage à Peter de Caluwe et la saison qu'il a préparée ; La Monnaie: tout simplement mon opéra préféré... et Bruxelles... et le waterzoi... ; plus sérieusement : trois créations mondiales en une saison, dont le Phaedra de Henze mis en scène par Peter Mussbach ; parce que tout me fait envie : le Mitridate de Mozart (mise en scène de Robert Carsen), la reprise d'Avis de tempête d'Aperghis, etc [SR]

Les surfeurs :
Benoît BERGER [BB] ; Réal BOUCHER [RB] ; Juliette BUCH [JB] ; Antoine BRUNETTO [AB] ; Brigitte CORMIER [BC] ; Jean Marcel HUMBERT [JMH] ; Pierre-Emmanuel LEPHAY [PEL] ; François LESUEUR [FL] ; Hélène MANTE [HM] ; Viet-Linh NGUYEN [VLN] ; Christian PETER [CP] ; Christophe RIZOUD [CR] ; Sophie ROUGHOL [SR] ; Maurice SALLES [MS] ; Bernard SCHREUDERS [BS] ; Clément TAILLIA [CT] ; Jean-Philippe THIELLAY [JPT]

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(*) Yep ! : Cri du surfeur pour faire valoir sa priorité au départ d'une vague.



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