Zelmira, le dernier opéra seria napolitain de Gioachino Rossini, revient à l’affiche en version de concert en ce début du mois de novembre à Lyon puis Paris au Théâtre des Champs-Elysées. Si le rôle-titre, écrit à l’intention de son égérie, Isabella Colbran, est évidemment redoutable, celui d’Antenore, destiné à l’origine au légendaire Andrea Nozzari, est encore plus périlleux. Pour preuve, la cabalette insensée dans laquelle le (bary)ténor doit manier le canto di sbalzo (chant avec saut d’octaves) comme le cow-boy le lasso. A Rome en 1989, Chris Merritt montrait qu’à cœur vaillant, rien n’était impossible, s’offrant même le luxe, après être passé d’un extrême à l’autre, d’orner la cadence finale.
C’est Zelmira qui titre mais c’est Antenore qui trinque
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Zapping
2 novembre 2015
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