Un extraterrestre d’or composé, voyageur d’après l’Apocalypse (Arthur Cadre), découvre notre planète déserte et enténébrée dans un futur lointain, et des traces des Jeux Olympiques grecs, prélude à leur renaissance grâce à ce cavalier. Vision surnaturelle : un aède en costume sombre brillant accompagné d’un pianiste (Alain Roche) jouant sur un instrument qui s’élèvera à la verticale à cinquante mètres du sol, entonne l’un des Hymnes à Apollon, dont le chant du IIe siècle avant J. C. a été retrouvé sur des fragments de marbre d’un temple, au XIXe siècle, lors de fouilles archéologiques. Dès le premier vers, « Ô Muse de l’Hélicon », Benjamin Bernheim, avec son habituel très grand talent (son sens du texte, son articulation et son expressivité), révèle au monde entier (ou presque, car peu pouvaient se targuer de le connaître) cet hymne, harmonisé à la fin du XIXe siècle par Gabriel Fauré, réarrangé pour cette cérémonie par Victor le Masne, compositeur des JO. Un moment magique, tout simplement, le plus beau de cet intéressant spectacle de fin des jeux conçu par Thomas Jolly.
Un Hymne d’Apollon révélé au monde lors de la Cérémonie de clôture des JO de Paris 2024
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Brève
12 août 2024
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