Adolescent, Maurice Salles traitait d’aboyeuses les cantatrices que son voisin écoutait sur son électrophone. Plus tard, parce que les écrivains qu’il admirait aimaient l’opéra, il se résolut à l’épreuve d’y assister. Aujourd’hui, dégagé, des obligations de l’enseignement il se consacre entièrement à ce qui est devenu une passion exclusive victorieuse du temps.
Laurence Equilbey, qui a grandi en Forêt-Noire, se sent à la maison dans les bois moussus du Freischütz, dont le Théâtre des Champs-Elysées propose une nouvelle production dès le 19 octobre.
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