Le Pays de Galles, ce n’est pas nouveau, est un réservoir de grands chanteurs, du passé, comme Geraint Evans, ou d’aujourd’hui, comme Bryn Terfel. Dans la production des des Maîtres-chanteurs de Nuremberg que propose en ce moment l’English National Opera, conçue par Richard Jones en 2010 pour le Welsh National Opera, Hans Sachs n’est pas Bryn Terfel, qui réserve son incarnation à Covent Garden, mais Iain Paterson vaut le détour. Pourtant, ce qui suscite surtout les commentaires, c’est la prestation du ténor gallois Gwyn Hughes Jones. Aucun lien de parenté, semble-t-il, avec sa compatriote et homonyme Gwyneth Jones. Seul point commun : le répertoire wagnérien. A Paris, on l’a entendu en 1997 en Ismaele de Nabucco, le rôle avec lequel il a fait ses débuts professionnels deux ans auparavant, et en Camille de La Veuve joyeuse, puis Lyon a pu l’applaudir en Werther. En mai, à Glasgow, il retrouvera le rôle de Manrico, qu’il a déjà interprété au Met en 2012.
Après Gwyneth Jones, Gwyn Hughes Jones
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Brève
27 février 2015
Après Gwyneth Jones, Gwyn Hughes Jones
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