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Anna Prohaska, de Constance à Blondchen

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Brève
18 juin 2014
Anna Prohaska, de Constance à Blondchen

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Du 29 mai au 11 juin, le Royal Opera House proposait une série de représentations de Dialogues des carmélites, dans la production de Robert Carsen, vue à Amsterdam et à Vienne. Sous la baguette de Sir Simon Rattle, deux de nos compatriotes y officient : Sophie Koch en Mère Marie et Yann Beuron en chevalier de la Force (indisposé, le ténor dut malheureusement être remplacé lors de la première). Autour d’eux, de grands noms et des accents variés, anglo- (Emma Bell en Madame Lidoine, Sally Matthews en Blanche) ou saxons (Deborah Polaski en Première Prieure). Et en Constance, la germano-britannique Anna Prohaska, qu’on entendra très bientôt en récital au Théâtre du Palais-Royal, avant de l’admirer cet automne au Palais Garnier dans L’Enlèvement au sérail, non pas en Konstanze, mais en Blonde.

Récital Anna Prohaska, dimanche 22 juin, 20h, Théâtre du Palais-Royal

L’Enlèvement au sérail, Opéra national de Paris, du 16 octobre au 8 novembre

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Anna Prohaska, au centre © ROH – Stephen Cummiskey

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