Diplômée des conservatoires de Mons et de Bruxelles, la mezzo-soprano Coline Dutilleul se perfectionne à Cologne avant d’intégrer l’Opéra studio du Rhin (à Strasbourg) et de faire ses débuts, cet été, au festival d’Aix-en-Provence sous la direction de Leonardo Garcia Alarcon. Dans ce premier album (Fuga Libera), la chanteuse belge entend confronter deux pans de l’histoire de l’art : l’impressionnisme et l’expressionnisme, qui ont cohabité dans la même fenêtre de temps, l’un à Paris, l’autre à Vienne. La mezzo-soprano recherche les points de concordance entre ces deux écoles, elle qui se définit comme une coloriste du son. Des Lieder et des Mélodies de Schönberg, d’Alma Mahler, de Berg, de Debussy et de Lili Boulanger forment cette étonnante mosaïque Belle Époque, remarquablement soutenue par le piano de Kunal Lahiry.
Coline Dutilleul, entre impressionnisme et l’expressionnisme
Partager sur :
Partager sur facebook
Partager sur twitter
Partager sur linkedin
Partager sur pinterest
Partager sur whatsapp
Partager sur email
Partager sur print
Brève
15 novembre 2022
Coline Dutilleul, entre impressionnisme et l’expressionnisme
Infos sur l’œuvre
Détails
Commentaires
VOUS AIMEZ NOUS LIRE… SOUTENEZ-NOUS
Vous pouvez nous aider à garder un contenu de qualité et à nous développer. Partagez notre site et n’hésitez pas à faire un don.
Quel que soit le montant que vous donnez, nous vous remercions énormément et nous considérons cela comme un réel encouragement à poursuivre notre démarche.
Infos sur l’œuvre
Détails
Nos derniers podcasts
Nos derniers swags
Les dernières interviews
Les derniers dossiers
Zapping
- 5 novembre 2024
- 31 octobre 2024
- 14 octobre 2024
Vous pourriez être intéressé par :
[themoneytizer id="121707-28"]