En France, à Paris surtout, huer le metteur en scène est presque devenu en habitude. Apparemment, en Angleterre, il en va tout autrement, car le Guardian nous apprend que la tendance est plutôt à huer le « méchant » de l’histoire, autrement dit le personnage qui est responsable de la fin tragique du héros ou de l’héroïne, même si l’artiste qui l’interprète a admirablement chanté. Lors de récentes représentations de Madame Butterfly au Royal Opera House, le ténor Marcelo Puente a été ainsi copieusement hué, simplement parce que Pinkerton est un salaud. Et Antonio Pappano déclare comprendre parfaitement cette attitude : « Si vous les entendiez lors des matinées scolaires. C’est plutôt marrant, de huer les méchants », déclare-t-il. Comme à Guignol, en somme…
En Angleterre, on hue les méchants à l’opéra
Partager sur :
Brève
11 avril 2017
En Angleterre, on hue les méchants à l’opéra
- Œuvre
- Auteur
- Compositeur
- Editeur
- Labels
- Lieu
- Saison
- Orchestre
- Artistes
Infos sur l’œuvre
Détails
Commentaires
VOUS AIMEZ NOUS LIRE… SOUTENEZ-NOUS
Vous pouvez nous aider à garder un contenu de qualité et à nous développer. Partagez notre site et n’hésitez pas à faire un don.
Quel que soit le montant que vous donnez, nous vous remercions énormément et nous considérons cela comme un réel encouragement à poursuivre notre démarche.
- Œuvre
- Auteur
- Compositeur
- Editeur
- Labels
- Lieu
- Saison
- Orchestre
- Artistes
Infos sur l’œuvre
Détails
Nos derniers podcasts
Nos derniers swags
Les dernières interviews
Les derniers dossiers
Zapping
- 6 octobre 2025
- 27 septembre 2025
- 26 septembre 2025
Vous pourriez être intéressé par :
[themoneytizer id="121707-28"]