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Anna Netrebko dans Gioconda : une ressemblance purement fortuite ?

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Brève
17 avril 2024

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Si l’on en juge aux photos (voir ci-dessous), la Gioconda d’Anna Netrebko mise en scène à Naples par Romain Gilbert ressemble étrangement à une de ses plus illustres devancières dans le rôle : Rosa Ponselle (1897-1981) qui débuta dans l’opéra de Ponchielli en 1924 à Philadelphie dirigée par Tullio Serafin. Dans L’Avant-Scène Opéra, Christophe Capacci raconte que la fin de son premier acte faisait chaque fois sensation et cite Rosa Ponselle elle-même : « Je chantais la phrase « Enzo! Madre mia! » tout en faisant quelques pas, très lentement. Ensuite, je prenais une longue respiration, je m’arrêtais, restais immobile une ou deux secondes et alors seulement je chantais « Enzo, come t’amo! ». Sur le mot amo, j’émettais le Si bémol pianissimo et tenais la note en traversant tout le plateau. Serafin respirait avec moi, il me connaissait par cœur ! L’orchestre était rivé à sa baguette pendant qu’il évaluait le temps pendant lequel j’étais capable de tenir cette note ». Cette même note longuement tenue sur le fil de la voix est une des prouesses réalisées par Anna Netrebko dans le rôle de Gioconda. Encore une ressemblance purement fortuite ?

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Anna Netrebko © DR

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