En France, à Paris surtout, huer le metteur en scène est presque devenu en habitude. Apparemment, en Angleterre, il en va tout autrement, car le Guardian nous apprend que la tendance est plutôt à huer le « méchant » de l’histoire, autrement dit le personnage qui est responsable de la fin tragique du héros ou de l’héroïne, même si l’artiste qui l’interprète a admirablement chanté. Lors de récentes représentations de Madame Butterfly au Royal Opera House, le ténor Marcelo Puente a été ainsi copieusement hué, simplement parce que Pinkerton est un salaud. Et Antonio Pappano déclare comprendre parfaitement cette attitude : « Si vous les entendiez lors des matinées scolaires. C’est plutôt marrant, de huer les méchants », déclare-t-il. Comme à Guignol, en somme…
En Angleterre, on hue les méchants à l’opéra
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Brève
11 avril 2017
En Angleterre, on hue les méchants à l’opéra
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