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À peine sorti d’une participation remarquée dans La Calisto au Festival d’Aix-en-Provence cet été, le contre-ténor Théo Imart revient sur son parcours et dévoile ses projets à venir. Au programme : le baroque, naturellement, des débuts attendus à l’Opéra de Paris et l’enregistrement d’un disque avec l’Opéra de Versailles.
Les fous chantants (2) : Le triste rêve de Natália de Andrade
Paul Agnew : « Tout acte de musique est une forme de transmission »
Les librettistes, figure de l’ombre : Lorenzo Da Ponte
Offenbach et la bouffe, ou l’art d’équilibrer les plaisirs sensuels
De la démence à l’âge baroque (1) : Je ne suis pas folle !
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Suzanne Jerosme : « Je pense avoir un professeur de chant toute ma vie »
Jérémie Rhorer : « Je souhaite véritablement placer le compositeur au centre du processus de production de l’opéra »
Barrie Kosky : « Si le moteur de la représentation n’est pas l’acteur, le corps et la voix, il n’y a pas de sens »
Paul-Antoine Bénos-Djian : « Je ne me fixerai aucune limite de répertoire »
Alexandre Dratwicki : « L’opéra-bouffe est une part importante de la musique romantique française »
Jérôme Boutillier : « Pour un chanteur français, c’est un honneur et un devoir de servir le répertoire national »
Marina Rebeka : « Quand je chante un opéra, mon but n’est pas d’obtenir cinq minutes d’applaudissements à la fin »
Christophe Rousset : « Je n’ai pas plus d’énergie que des pianistes qui font le tour du monde »
Yusif Eyvazov : « Si tu crois en ta voix, n’abandonne jamais »
Klaus Florian Vogt : « J’espère chanter Tristan en 2022 »
Felicity Lott : « Je n’ai jamais su dire non, sauf pour les rôles dangereux »
Stéphane Degout : « A l’opéra, on ne peut pas être que dans le divertissement »