Alors qu’il vient de diriger le diptyque de Pulcinella et de l’Heure Espagnole en les murs de son cher Opéra Comique, le chef Louis Langrée se prête à l’exercice de notre questionnaire de Proust.
Le compositeur Aribert Reimann est indéniablement un des esprits les plus généreux de la musique de notre temps, mondialement célèbre et acclamé pour son œuvre lyrique. Il s’est éteint ce 13 mars à l’âge de quatre-vingt-huit ans.
Le compositeur Aribert Reimann est indéniablement un des esprits les plus généreux de la musique de notre temps, mondialement célèbre et acclamé pour son œuvre lyrique. Il s’est éteint ce 13 mars à l’âge de quatre-vingt-huit ans.
J’ai lu les commentaires à la fois passionnés et orduriers liés au tout récent article de Télérama L’opéra à bout de souffle. Et si la génération montante est sincère dans son désir de démocratiser l’opéra, je lui souhaite de commencer par oser les prendre en considération, et se frotter à cette problématique : pourquoi, pour qui l’opéra aujourd’hui ?
Alors qu’il vient de diriger le diptyque de Pulcinella et de l’Heure Espagnole en les murs de son cher Opéra Comique, le chef Louis Langrée se prête à l’exercice de notre questionnaire de Proust.
Après un passage par la Staatsoper de Berlin, la saison de la metteuse-en-scène Silvia Costa aura été parisienne : l’Autre Voyage au Comique et un nouveau Macbeth au Français
Voilà un siècle que Giacomo Puccini s’est éteint à Bruxelles, emporté par le cancer qui lui rongeait la gorge, par le traitement redoutable qu’il était venu y chercher et par un arrêt cardiaque. Et depuis un siècle sa musique n’a cessé de résonner sur les scènes du monde entier.
C’est sur les rives du Bosphore, en prenant le ferry qui relie Kadiköy sur le flanc asiatique d’Istanbul pour rejoindre la rive européenne qu’est soudainement revenue en moi la question de mon identité.